Vous avez surement très envie d'en savoir plus sur un des derniers développeurs arrivés chez PrestaConcept. Ça tombe bien, il va tout nous expliquer dans ce très long entretien... ou pas !
Bienvenue chez PrestaConcept ! Mais tu peux te présenter comme si on ne travaillait pas déjà ensemble depuis juillet ?
Merci ;)
Olivier, 33 ans. Je suis né à Troyes puis je suis passé par Niort, la Corse et j'ai fini par poser mes cartons à Montpellier en 2010. Je suis développeur symfony depuis 7 ans.
Et avant d'arriver chez nous tu faisais quoi ?
Des études chaotiques jusqu'au bac :D Puis après une révélation pour le développement web.. BTS, école d'ingénieur, agence web, société de services, éditeur logiciel.. j'ai fait le tour.
Et c'est quoi ton métier alors ?
Je fais des sites web. C'est ce que je réponds quand on me demande comme ça tout le monde comprend et ça m'évite de développer ? :)
Un développeur qui évite de développer, c'est amusant ça... Et sinon pourquoi Symfony ?
Au tout début c'était la rapidité et la facilité avec laquelle on a des résultats. Et puis avec le temps on apprend à le connaître un peu plus, on s'attache et on a du mal à le quitter.
Pourquoi avoir rejoint PrestaConcept ? Qu'est-ce qui t'a attiré chez nous ?
J'ai commencé en agence web et c'est l'ambiance que j'ai la plus appréciée jusque-là. On va dire que c'est un retour aux sources. Et puis les gens avaient l'air cool pendant les entretiens (ils le sont vraiment).
Ça fait quelques semaines maintenant que tu nous as rejoints, comment se sont passées ton arrivée et ton intégration dans l'équipe ?
Très mal. Je n'ai pas aimé le bizutage tout nu dans les rues de Lyon.
En vrai très bien. Bonne ambiance, les projets sont cools, les gens ne sont pas stressés.. et ça change la vie des collègues pas stressés :)
Et si on parlait un peu plus de toi, tes passions, tes projets en dehors du travail ?
Je n'ai pas de projet, je me laisse vivre au jour le jour :D Je fais pas mal de sport, moto, voyages.. jeux vidéo.. un peu.. des fois.. des fois un peu beaucoup.
Et du coup, on te laisse conclure ?
Non merci.